En 1987, Lagoon introduisait son premier catamaran de croisière, le Lagoon 55. 34 ans plus tard, le chantier est de retour avec un nouveau modèle de cette taille, qui à l’exception de ses deux coques, n’a pas grand-chose à voir avec son prédécesseur.
Exit le Lagoon 52 qui datait de 2012, vive le Lagoon 55. La gamme du leader mondial du catamaran évolue. Elle fait désormais la part belle à une unité plus spacieuse, volumineuse et luxueuse que le précédent 52. On observe que le chantier tire légèrement sa ligne vers le haut pour se rapprocher des standards des Lagoon Sixty 5 et Seventy 7. Car si les grandes unités font rêver, Lagoon partage son savoir-faire avec des unités aux tailles plus conventionnelles. Un véritable challenge au niveau de l’aménagement qui implique de satisfaire en permanence plus d’attentes dans un environnement toujours aussi restreint. Sur le Lagoon 55, tout commence par les jupes arrière sur lesquelles les marches ont astucieusement été positionnées de biais, ce qui a per-mis de prolonger la nacelle à l’arrière du cockpit. En résulte un cockpit XXL avec une zone de circulation périphérique très dégagée. Ajouté à cela des banquettes et bains de soleil orientés vers l’arrière – c’est-à-dire face à la mer – et on obtient un espace à la fois convivial et contemplatif. En 1987, Lagoon introduisait son premier catamaran de croisière, le Lagoon 55. 34 ans plus tard, le chantier est de retour avec un nouveau modèle de cette taille, qui à l’exception de ses deux coques, n’a pas grand-chose à voir avec son prédécesseur. Navigation 5 étoiles Lagoon 55Le flybridge, où l’on trouve le poste de barre, opère l’ensemble des commandes du bateau et permet donc de dissocier la navigation du farniente. On y trouve tout de même une gé-néreuse banquette en U et une vraie table à manger, de grands bains de soleil à l’arrière et sur le rouf. Le cockpit avant prend ses aises et se voit oc-troyer une très large banquette en U intégrée dans les lignes du bateau. La zone est agré-mentée de coffres volumineux, d’un accès simple au guindeau et communique facilement avec le carré grâce à un vitrage rétractable. Mais c’est à l’intérieur que toute l’esthétique de ce nouveau modèle s’exprime. Le carré est une véritable pièce à vivre, élégant et très lumineux grâce à deux vitrages zénithaux de roof. Un atout pour le design, mais aussi pour la naviga-tion puisque ces derniers offrent une bonne vue sur le plan de voilure. Selleries textiles made in France conjuguées aux essences de bois clairs offrent un haut niveau de sérénité visuelle et renforce la sensation d’harmonie à bord. Confort, style et bien sûr qualité marine ga-rantie par la signature de VPLP sont bien les trois piliers sur lesquels repose ce nouveau Lagoon 55.

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Skippers arrive avec sa toute nouvelle webserie "ESSAI BATEAU".

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Personne ne conteste l’incroyable confort offert par un multicoque comparé à celui que peut dispenser un monocoque : absence de
gîte, vie sur le même niveau, vue panoramique, plus de volume, intimité des cabines... La liste est longue mais bute néanmoins sur un point important, le plaisir de barre. Sur ce terrain là, le monocoque se distingue dans la plupart des cas des catamarans de croisière. Mais le nouveau trimaran NEEL 43 vient rebattre les cartes ! Voilà dix ans qu’Éric Bruneel à lancé son chantier,
NEEL Trimarans. Ce constructeur basé à La Rochelle est l’un des seuls dans l’univers des multicoques à proposer des grands trimarans de croisière en série. Dernier né de cette Saga, le NEEL 43 remplaçant du 45 possède des
coques et un pont réalisé en sandwich mousse/verre quadriaxial/polyester et vinylester et renforts en carbone. En revanche, de nombreuses pièces non structurelles dans les aménagements comme les contremoules sont conçues avec des matériaux biosourcés grâce à un sandwich qui intègre un tissu verre/lin de 300 g/m2 et une âme en liège. Un soin particulier a été investi dans la maîtrise du devis de poids : avec 9 tonnes au peson, le NEEL
43 est 20 à 30% plus léger que la plupart de ses concurrents.
Retrouvez la description complète sur skippers.ch
Texte Emmanuel van Deth

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